A l'ombre de la guillotine, des chansons...
La chanson s’est souvent attaquée à la peine de mort. Et ce combat a pris parfois des formes curieuses.
Dans le premier épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Ni Dieu ni maître par Léo Ferré (1969)
Fernandel dans Le Schpountz de Marcel Pagnol (1938)
L’Assassin assassiné par Julien Clerc (1980)
La plus bath des javas par Francis Lemarque (1991)
La Folle par Nitta-Jo (1931)
Le Mime par Allain Leprest (2007)
Le Bestiaire de Paris par Juliette Gréco (1962)
Le Bal des Laze par Michel Polnareff (1969)
Amazing Grace par Judy Collins (1972)
Le patrimoine de la chanson française garde trace des siècles de peine capitale, mais aussi de toute une casuistique du châtiment… qui fait quand même beaucoup de morts en chanson.
Dans le second épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Je suis pour par Michel Sardou (1976)
La Guillotine par Denise Benoît (1792, enregistrement de 1962)
La Guillotine permanente par Catherine Ribeiro (1792, enregistrement de 1988)
La Complainte des nazis par Pierre Dac (1943)
La Messe au pendu par Georges Brassens (1976)
Le Gorille par Georges Brassens (1952)
Le « Ça ira » par Edith Piaf (1955)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-neuf épisodes de notre série d’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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