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Crise migratoire, éducation sexuelle et fausses alertes à la bombe : ça dit quoi mardi 19 septembre ?

Mardi 19 septembre, l'Europe surveille la crise migratoire à Lampedusa, des cours d'éducation sexuelle font polémique en Belgique et deux adolescents sont mis en examen dans une affaire de fausses alertes à la bombe.
Article rédigé par Léo Tescher
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Des exilés arrivent dans le port italien de l'île de Lampedusa, le 15 septembre 2023. (ALESSANDRO SERRANO / AFP)

"Salut c'est Léo, ça dit quoi ?"

Ce mardi 19 septembre, Gérald Darmanin revient de Rome où il a prôné la "fermeté" face à la crise migratoire à Lampedusa. Alors que l'île italienne a été confrontée à l'arrivée de 12 000 exilés la semaine dernière, l'Europe surveille la situation. La France "ne s'apprête pas" à accueillir sa part de migrants et préfère "aider l'Italie à tenir sa frontière pour empêcher les gens d'arriver", a déclaré le ministre de l'Intérieur.

Des écoles brûlent en Belgique sur fond de contestation de cours d'éducation sexuelle. Le programme d'"éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle" (Evras) soulève une fronde des milieux conservateurs et religieux radicaux, qu'ils soient musulmans ou catholiques. Les manifestations s'enchaînaient depuis la rentrée, jusqu'à ce que plusieurs écoles soient la cible d'incendie et de tags.

Deux adolescents d'une quinzaine d'années ont été mis en examen samedi, notamment pour "menaces de mort". Ils sont soupçonnés d'avoir piraté les espaces numériques de travail d'une soixantaine d'élèves pour diffuser de fausses alertes à la bombe l'année dernière. Le phénomène a touché plusieurs collèges et lycées, comme à Mulhouse, Lille ou encore Créteil, en région parisienne. Avec cette mise en examen, les deux ados risquent donc un procès.

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