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Etre ou ne pas être, un "alternant"

C'était la Fête de l'Alternance, aujourd'hui, au Parce Floral, près de Paris. 50 entreprises, 80 écoles, des guichets, des stands, pour trouver des solutions à des jeunes sans emploi. Pas toujours une fête...
Article rédigé par Nathalie Bourrus
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Fête de l'alternance)

Venez, venez, approchez, jeunesse....

Derriere des tables et des chaines en plastique, des responsables des ressources humaines attendent ces jeunes, prêts à (presque) tout pour sortir de la spirale du chômage.

A la clé, on leur propose une chose: devenir des "alternants".

A savoir, poursuivre une formation ou leurs études, et travailler. Le tout étant payé, ainsi que la formation.

Les entrepreneurs ne cachent pas qu'il s'agit d'une main d'oeuvre facile à embaucher pour un temps limité, et donc facile à laisser partir.

Le gouvernement prône ce genre de solution très Win Win , affirmant que Non ! , l'alternance n'est pas une voie de garage. Les croire. Que les jeunes y croient encore, et que les entreprises s'y mettent aussi. Pour ne pas tomber dans la "very big Loose Loose".

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