Les métiers de la culture, royaume de la précarité
Comme Etaïnn, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un travail stable dans le monde de la culture. La précarité, les petits boulots, le travail gratuit constituent souvent le quotidien de cette génération.
sabelle Recotillet, chef du département "entrées et évolutions dans la vie active" au Céreq, le centre d'études et de recherches sur les qualifications, explique que nombre de ces jeunes gens, pourtant bien formés, doivent se résoudre à un "déclassement", c'est-à-dire à trouver un poste moins qualifié que celui pour lequel ils se sont préparés.
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