Le travail à heures fixes n'est plus le modèle majoritaire
La journée qui commence à 8h20 pour se terminer à 17h30, avec une pause de 1h20, le tout faisant 38 heures par semaine : c'est encore LE modèle dominant - et de loin - mais il n'a plus la majorité. C'est une étude de la Dares, la Direction de la Statistique du ministère du travail, qui le révèle : "seulement" 44% des actifs français sont fidèles à ce schéma. Et les autres, soit 56%, se répartissent sur d'autres rythmes qui se sont répandus ces dernières années. Qui sont ces salariés qui constituent encore le "gros de la troupe" ?
Ce qui est nouveau pour ce groupe "sédentaire", c'est que les horaires fixes ne les empêchent pas de rapporter du travail chez eux le soir et d'assurer des heures qui ne sont pas prévues dans leur contrat. Même pour ceux qui ont des horaires standards, les frontières entre temps de travail et temps libre ne sont plus aussi nettes.
Parmi les conclusions étonnantes de cette étude du ministère du Travail : le poids d'un groupe, celui qui pratique des semaines "longues". Ils travaillent en moyenne 52 heures par semaine. Ils représentent pas moins de un salarié sur quatre - 24% des actifs précisément. La moitié d'entre eux travaillent le samedi, un tiers le dimanche.
Pour en savoir plus : La France dans le monde qui vient de Jean Viard (éditions de l'Aube)
Un bureau qui tue les microbes
C'est possible grâce à un revêtement antibactérien dans lequel on a injecté des ions d'argent. Cela permettrait d'éliminer 99% des micro-organismes les plus communs, comme les petites bêtes qui donnent la gastro ou le rhume. C'est donc un nouveau bureau commercialisé par une grande marque de mobilier professionnel. Non seulement il tue les microbes et les bactéries qui s'y développent quand on le touche avec des mains sales, mais en plus il change de hauteur régulièrement pour permettre à son utilisateur de travailler debout pendant une dizaine de minutes toutes les heures, ce qui est recommandé par le corps médical.
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