Un très bon boulot, dans le domaine du spatial. Consultant indépendant, mais en cheville avec Thalès, avec dix ans de visibilité. Mais Patrice Vérin, en avril dernier, a préféré dire stop : "Cela faisait un an que l'on avait envie de partir. Le Portugal s'est positionné en tête en raison de nos voyages, du dynamisme aussi que l'on trouve là bas (...) L'essor du télétravail a été l'élément déclencheur qui a été déterminant."La "grande démission", pour Patrice, a été clairement permise par les nouveaux modes de travail. "Je suis effectivement un salarié nouvelle génération que je qualifie de 'digital nomade', c'est-à-dire que je n'ai pas de bureau fixe. Je peux travailler un jour depuis chez moi, un jour sur une terrasse. Je gère mon organisation comme je le souhaite", estime Patrice Vérin.Démissionner, ça a été une décision de famille, pour la famille . "On ne vit qu'une fois. Peu importe le risque, il faut quelque part croquer la vie à pleines dents et pouvoir profiter de nos enfants", conclut Patrice Vérin...