Cet article date de plus de six ans.

Vidéo Sami Rahal, président de Deloitte France : "L'intelligence artificielle va créer de nouveaux emplois"

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 7min
:l'éco du 28 mars avec Sami Rahal
:l'éco du 28 mars avec Sami Rahal :l'éco du 28 mars avec Sami Rahal
Article rédigé par franceinfo - Alexandre Peyrout
France Télévisions

Invité de :l'éco, le président de l'entreprise d'audit et de conseil a parlé de l'avenir avec l'intelligence artificielle, mais aussi de la convergence avec les agences de communication.

C'est une entreprise qui a 175 ans. Le président de Deloitte France, Sami Rahal, se félicite de la longévité de son entreprise.

Concernant l’intelligence artificielle, c’est un secteur d’opportunité pour Sami Rahal. "Ce qui est nouveau c’est la puissance de calcul. Cela crée de nouveaux emplois, pour profiler les consommateurs en fonction de leurs envies."

Le chef d'entreprise a également parlé de l'accord passé entre Monoprix et Amazon. "C’est un partenariat révolutionnaire. C’est une stratégie de positionnement dans l’alimentaire qui correspond aux ambitions d’Amazon."

La tendance du moment est à la convergence entre les agences de communication et de conseils, comme Deloitte. Alors son entreprise pourrait-elle racheter une agence de com' ? C'est l'objet de la question AFP. "Nous observons une convergence de ces métiers. Nous sommes face à des opportunités ou le digital permet d’accéder plus rapidement d’une idée à sa réalisation. Donc on pourrait imaginer un partenariat."

Puis Sami Rahal s'est prêté à la question qui fâche, concernant les cyberattaques qui ont visé Deloitte. Les données sensibles des clients de l'entreprise sont-elles en sécurité ? "Je peux le confirmer. Ce type d’événement arrive tous les jours. Toutes les entreprises le vivent. Nous avons des capacités de protections considérables. Ce qui m’inquiète ce sont les PME, les ETI qui n’ont pas accès à cette protection."

L'interview s'est terminée avec Uprising de Muse.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.