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"Complément d'enquête" sur Gérard Depardieu : "Ce n'est pas un tribunal médiatique, on expose des faits", défend le rédacteur en chef de l'émission

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"Complément d'enquête" sur Gérard Depardieu : "Ce n'est pas un tribunal médiatique, on expose des faits", défend le rédacteur en chef de l'émission
"Complément d'enquête" sur Gérard Depardieu : "Ce n'est pas un tribunal médiatique, on expose des faits", défend le rédacteur en chef de l'émission "Complément d'enquête" sur Gérard Depardieu : "Ce n'est pas un tribunal médiatique, on expose des faits", défend le rédacteur en chef de l'émission (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E. Tran Nguyen
France Télévisions
L'émission "Complément d'enquête", qui sera diffusée jeudi 7 décembre sur France 2, a pour sujet les accusations de violences sexuelles portées contre Gérard Depardieu. Présents sur le plateau du 12/13 info, deux journalistes de l'émission reviennent sur leur enquête.

Gérard Depardieu est visé par une nouvelle plainte pour agression sexuelle déposée par la comédienne Hélène Darras. Elle s'est confiée aux équipes de "Complément d'enquête", dans une émission qui sera diffusée jeudi 7 décembre sur France 2. Elle accuse l'acteur de lui avoir touché ses parties intimes en 2007. Dans l'émission, d'autres femmes témoignent à visage découvert, et décrivent toujours le même mode opératoire. "C'est toujours une régisseuse, une figurante qui dénonce ces comportements. Ça commence par des blagues à caractère sexuel, et certaines dénoncent, après les blagues, des gestes déplacés, des mains baladeuses, parfois plus", explique Damien Fleurette, journaliste de l'émission, dans le 12/13 info.

"Des propos extrêmement déplacés"

Pour Tristan Waleckx, présentateur et rédacteur en chef de l'émission, "la véritable force" de cette enquête, "c'est qu'on a la preuve en vidéo, a minima, de comportements au moins déplacés de Gérard Depardieu". Tristan Waleckx explique dans le 12/13 info que Damien Fleurette "a mis la main sur des images où on voit Gérard Depardieu en 2018 qui ne peut pas croiser une femme sans lui parler de ses parties intimes, qui a vraiment des propos extrêmement déplacés. Il va même jusqu'à sexualiser une petite fille d'une dizaine d'années""Ce n'est pas un tribunal médiatique, on expose des faits. On a des témoignages, des images", défend le rédacteur en chef.

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