Guerre entre le Hamas et Israël : des civils israéliens unissent leurs forces pour tenter de localiser les otages
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Des dizaines d’avis de recherche, relayés encore dans la journée du dimanche 15 octobre sur les réseaux sociaux. Que sont devenus ces hommes, femmes et enfants qui manquent à l’appel ? La société civile israélienne s’organise. À Tel-Aviv (Israël), le parc des expositions a été transformé en cellule de crise. Dans cette ruche se retrouvent 450 informaticiens, spécialistes des hautes technologies, ou simples volontaires.
Un devoir pour les bénévoles
Leur mission ? Localiser les 1 400 disparus de leur liste. Pour Omer Bialer, développeur informatique, comme les autres, c’est devenu un devoir. "Par exemple, nos équipes scannent les photos des disparus, et recherchent des correspondances avec l’aide de l’intelligence artificielle. On essaye de recouper les informations à partir des images publiées par le Hamas ou les Israéliens", explique-t-il. Le centre de recherche a été improvisé par Karine Nahon, une professeure d’université, figure de la récente contestation contre le gouvernement Netanyahou.
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