Rentrée littéraire : nouvelle sélection

Comme chaque année, c'est l'autre rentrée importante qui commence. Sagas historiques, romans a l'eau de rose ou polars. La nouvelle cuvée littéraire arrive. C'est le festival de Cannes du livre. Sur le tapis rouge, il y a les têtes d'affiche, les outsiders, les romans français, les succès étrangers. Chacun à son public.

Des romans bien écrits, avec une bonne histoire.

Je préfère la littérature étrangère anglo-américaine.

Plutôt les classiques.

Pour cette rentrée littéraire, 555 nouveaux romans se disputent la tête d'affiche. Chaque libraire élabore sa propre selection.

On a 6 coups de coeur qu'on a aimes dont on a parlé ensemble.

Opératioon commerciale inratable, le but, mettre en avant les futurs best-sellers.

Un auteur français de notoriété moyenne qui vend 10 000 exemplaires c'est une belle vente. On a des phénomènes qui dépassent 200 ou 300 000 exemplaires.

10 à 20 romans seulement tireront leur épingle du jeu et dépasseront les 10 000 exemplaires. Entre les éditeurs, c'est la guerre. Isabelle Lafont et Richard Ducousset sont maries et éditeur concurrent. Lui pense avoir trouvé le succès de l'année.

Celui-ci, il se passe un phénomène important autour. Il y a unanimité des lecteurs, des critiques.

Elle préfère tout miser sur l'envoi des romans à la presse et aux critiques.

500 à 1000 exemplaires, beaucoup d'investissement et de suivi pour convaincre que c'est nous qui avons le livre dont tout le monde va parler.

Stratégie payante, c'est comme ça qu'elle a découvert "Da Vinci code". Avoir un best-seller ça compte. La rentrée littéraire représente 60 % du chiffre d'affaire des éditeurs. Autre stratégie, amener ses poulains jusqu'aux palmes d'or de la littérature.

Ils vont essayer de les pousser auprès des jurés littéraires de façon a rafler un de ces grands prix qui font le succès d'un livre en fin d'année.

Premier grand prix attendu dans un mois et demi, le prix Goncourt. L'heureux élu rafle au minimum 10% des ventes à lui seul.