Pradaxa : inquiétude sanitaire sur l'anticoagulant
Deux sont en Syrie, on en a parlé. 7 autres en Afrique de l'Ouest dans la zone du Sahara. Voici leurs portraits. Nous ne les oublions pas. Va-t-on vers une nouvelle affaire du type Mediator ? La question est posée après cette série de plaintes contre un anticoagulant de nouvelle génération. 4 personnes âgées sont mortes récemment. Le médicament, Pradaxa, est très répandu.
Elle a choisi de nous montrer le passeport de son père. Un homme de 70 ans décédé d'une hémoragie, 3 jours après une opération du genou le 15 février dernier. Pour elle, le responsable c'est le Pradaxa, un anticoagulant prescrit pour éviter les accidents vasculaires cérébraux. Aujourd'hui, elle porte plainte.
Mon père ne reviendra pas. Pour sa mémoire et pour arrêter de lancer des médicaments non au point.
Le Pradaxa est surveillé de près par l'Agence du médicament depuis 2011. Motif : risques d'hémoragies. Selon des médecins, il présenterait moins de risques que les anciens coagulants. Mais il faut l'utiliser avec précaution.
Lorsqu'on respecte l'autorisation de mise sur le marché, ces médicaments ne doivent pas être utilisés chez des personnes de plus de 80 ans.
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