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Vidéo Complément d'enquête : "Valérie Trierweiler, congédiée en 18 mots"

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Complément d'enquête
Article rédigé par Valerie Kowal
France Télévisions

Le communiqué en dix-huit mots de François Hollande annonçant leur séparation a profondément blessé Valérie Trierweiler. Son ami Olivier Ciappa parle dans "Complément d'enquête" de ce choc qui a laissé une trace indélébile.

"Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie que je partageais avec Valérie Trierweiler." C'est par cette simple phrase, lapidaire et dictée à l'AFP, que François Hollande a mis fin à sa vie commune avec Valérie Trierweiler. Dix-huit mots froids, dénués d'empathie, qui congédient officiellement la première dame.

Zoé de Bussière et Vivien Roussel ont rencontré le photographe Olivier Ciappa. Il fait partie du nouvel entourage de Valérie Trierweiler et se souvient de la violence de cette rupture. "Plus que par les photos, j'ai été extrêmement marqué et choqué par les fameux dix-huit mots de François Hollande, qui l'a virée d'un CDD", explique-t-il. Un communiqué dévastateur pour François Hollande qui, de fait, a choqué nombre de femmes en France et dans le monde. 

Olivier Ciappa fait un parallèle avec le mea culpa de Bill Clinton après l'affaire Monica Lewinski. Selon lui, "François Hollande a viré [Valérie Trierweiler] sans le moindre respect. Peut-être que s'il avait eu un peu plus d'empathie, ce livre n'aurait jamais existé."

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