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Municipales : le PS et LR ont-ils sauvé leurs fiefs?
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À droite, il y a plus de défaites que de victoires dans les grandes villes. Du côté des socialistes, on veut surtout retenir les conquêtes, comme la ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle) ou la victoire franche à Paris.
Tout sourire sur le parvis de l'hôtel de ville de Paris, Anne Hidalgo (PS) est réélue. La capitale reste à gauche. Les socialistes conservent d'autres bastions, comme Lille (Nord), où Martine Aubry devra composer avec une courte majorité. Rennes (Ille-et-Vilaine), Nantes (Loire-Atlantique), Le Mans (Sarthe), Dijon (Côte-d'Or) et Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) restent également en rose. La gauche s'offre aussi quelques conquêtes, dont Nancy (Meurthe-et-Moselle).
Implantation locale
Le bilan est plus nuancé pour Les Républicains, qui encaissent des pertes douloureuses à Bordeaux (Gironde), Marseille (Bouches-du-Rhône), dont le sort est encore incertain, mais aussi Périgueux (Dordogne). En revanche, la droite conserve Toulouse (Haute-Garonne), Nîmes (Gard), Toulon (Var) et Saint-Étienne (Loire). Enfin, elle rafle Orléans (Loiret) et Metz (Moselle). Finalement dimanche 28 juin, les partis traditionnels ont su conserver leur implantation locale.
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