Politique : depuis Pékin, Emmanuel Macron répond aux syndicats
Le président a fait savoir qu’il assume sa réforme et le calendrier. "Qu’un président cherche à porter le projet sur lequel il a été élu, cela ne s’appelle pas une crise démocratique, voici les mots et la réaction cinglante depuis Pékin (Chine) de l’entourage d’Emmanuel Macron au patron de la CFDT, Laurent Berger", déclare le journaliste Guillaume Daret, envoyé spécial à Pékin, mercredi 5 avril.
La décision attendue le 14 avril prochain
"Les proches du président de la République jugent par ailleurs, je cite, que si les gens ne voulaient pas 64 ans, il ne fallait pas porter Emmanuel Macron en tête du premier tour de l’élection présidentielle", poursuit Guillaume Daret. De plus, son entourage estime que la mobilisation est en baisse. "Emmanuel Macron verra les syndicats confie son entourage, mais une fois la décision du Conseil constitutionnel rendue. Je rappelle qu’elle est prévue pour le 14 avril prochain", conclut-il.
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