: Vidéo Bartolone ne veut pas "mettre un euro de plus dans la machine à désordre"
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Alors que la polémique sur les Roms divise la majorité, le président socialiste de l'Assemblée estime que "tout ce qui nous écarte" de la lutte contre le chômage "est une mauvaise chose".
Le différend sur les Roms qui a opposé Cécile Duflot à Manuel Valls a semé la discorde au sein du gouvernement. Claude Bartolone ne veut pas en rajouter. "Le rôle du président de l'Assemblée nationale n'est pas de mettre un euro de plus dans la machine à désordre", a estimé le président socialiste de l'Assemblée nationale, mercredi 2 octobre, lors de sa conférence de presse de rentrée.
"J'ai compris tout de suite que nous étions devant une difficulté", a souligné Claude Bartolone, rappelant qu'il était "dans la salle" lorsque la ministre du Logement a critiqué les propos de son collègue de l'Intérieur. Le socialiste a reconnu avoir été "vraiment irrité de ce moment", "parce que au même instant le président de la République se rendait à Florange".
Le patron de l'Assemblée veut laisser la polémique de côté. "Tout ce qui nous écarte" de la lutte contre le chômage "est une mauvaise chose pour chacun des ministres pour le gouvernement pour la majorité et pour le pays", a-t-il martelé.
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