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Pierre Laurent (PC) et la "parole de perdant" chez Nicolas Sarkozy : "bon débarras"

L' aveu de Sarkozy "si je perds, je quitte la politique" est commenté ce matin. "Bon débarras" pour Pierre laurent et Philippe Poutou. Manuel Valls n'est pas surpris " Il ne parle que de lui". De son côté , Corinne Lepage lance un appel aux maires.
Article rédigé par Valerie Kowal, Jacques Deveaux
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
La revue de presse matinale des radios (FTV)

L' aveu de Sarkozy "si je perds, je quitte la politique" est commenté ce matin. "Bon débarras" pour Pierre laurent et Philippe Poutou. Manuel Valls n'est pas surpris " Il ne parle que de lui". De son côté , Corinne Lepage lance un appel aux maires.

Après la confession de Nicolas Sarkozy qui avoue vouloir quitter la politique en cas d'échec le 6 mai, Pierre Laurent, aux "4V" sur France 2 évoque "une parole de perdant". "J'ai envie de dire bon débarras s'il s'en va".

Manuel Valls, le directeur de la communication de François Hollande, sur RMC Info ne se dit pas surpris. "Nicolas Sarkozy ne parle que de lui", en insistant sur une forme d'exhibition. "Ce qu'on veut d'un président sortant, ce sont des états de service, pas des états d'âme".

Sur France Info, Philippe Poutou y voit une stratégie "c'est un menteur professionnel ( ...) il essaie d'attendrir".

Nathalie Kosciusko-Morizet, sur Europe 1assure qu'il "n 'est dans la perspective dans la défaite". Pour la porte-parole de Sarkozy, le président sortant répond aux questions " c'est juste un candidat qui répond aux questions".

Tout autre regisre, Corinne Lepage est toujours à la chasse aux signatures, à une semaine de la clotûre des candidatures. Sur France Inter, la candidate de cap 21 lance un appel aux maires et parle de frilosité "les maires ne veulent pas parrainer car c'est une source d'ennui".

Enfin, Jean-Louis Borloo,sur Europe 1 maintient le suspense sur sa présence au grand meeting de Sarkozy à Villepinte dimanche le 11 mars. "Si nous n'y sommes pas, ça ne voudra pas dire qu'il n'y a pas de soutien au président". Pour le président du parti radical, une chose est assurée "un partenariat avec l'UMP, c'est assez clair".

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