Le président du Mouvement Démocrate a estimé, dimanche 12 février, que les responsables des grands courants démocratiques français devraient "discuter" de la situation créée par l'éventuelle disqualification de la présidente du Front national, qui affirme qu'elle peine à collecter les 500 signatures d'élus nécessaires à sa candidature. A droite comme à gauche, l'idée fait l'unanimité contre elle.