Nouveau gouvernement : le NFP "n'a pas gagné" les législatives, estime Renaud Muselier, président de la région Paca

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Nouveau gouvernement : le NFP "n'a pas gagné" les législatives, martèle le président du conseil régional PACA -Uni : pour son anniversaire, une centenaire s'offre un saut en parachute
Nouveau gouvernement : le NFP "n'a pas gagné" les législatives, martèle le président du conseil régional PACA -Uni : pour son anniversaire, une centenaire s'offre un saut en parachute Nouveau gouvernement : le NFP "n'a pas gagné" les législatives, martèle le président du conseil régional PACA -Uni : pour son anniversaire, une centenaire s'offre un saut en parachute (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2
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Avant d'être convié à l'Élysée pour la suite des consultations d'Emmanuel Macron, jeudi, Renaud Muselie est l'invité des "4 Vérités".

Depuis 45 jours, la France n'a qu'un gouvernement démissionnaire. Afin de choisir son Premier ou sa Première ministre, Emmanuel Macron enchaîne les consultations auprès des responsables politiques du pays. Invité des "4 Vérités", jeudi 29 août, Renaud Muselier, président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, doit rencontrer le président aux côtés des représentants des régions de France et du président de l'association des maires de France, David Lisnard. Auprès du président, il entend faire savoir qu'il "faut appliquer le prototype du meilleur candidat (...) qui fédère le groupe central majoritaire et évite la censure immédiate"

Il milite pour un Premier ministre "à droite" 

Comme de nombreuses personnalités de Renaissance, Renaud Muselier martèle que la gauche "n'a pas gagné" les législatives. "[Le NFP] peut crier ! Répéter un mensonge avec force et violence ne donne pas la vérité", déclare Renaud Muselier, qui se dit d'ailleurs favorable à la proportionnelle pour éviter le blocage institutionnel.

L'ancien LR, rallié au camp présidentiel, met en avant "un groupe central majoritaire" et affirme que la priorité est d'"éviter la censure immédiate". Militant pour un Premier ministre marqué "à droite", il estime que le "pacte de gouvernance doit s'appuyer sur les présidents de groupe" à l'Assemblée nationale.

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