Assemblée nationale : une rentrée parlementaire sous tension
La rentrée parlementaire à l'Assemblée nationale, mardi 4 octobre, a été perturbée par les affaires récentes de violences faites aux femmes.
Mardi 4 octobre, à l'Assemblée nationale, la rentrée parlementaire a été éclaboussée par des affaires de violences faites aux femmes. Lors des questions au gouvernement, Aurore Berger, présidente du groupe Renaissance, a évoqué en creux l'affaire concernant le député de La France insoumise Adrien Quatennens, dont l'épouse a porté plainte pour violences conjugales. Interrogée sur la politique du gouvernement contre les violences faites aux femmes, Élisabeth Borne a répondu. "L'égalité entre les femmes et les hommes est la grande cause des quinquennats d'Emmanuel Macron", a déclaré la Première ministre.
Les regards tournés vers Sandrine Rousseau et Julien Bayou
Élisabeth Borne a été interpellée par la députée de La France insoumise, Danièle Obono. Cette dernière a été rappelée à l'ordre. Une journée mouvementée, où les regards étaient tournés vers Sandrine Rousseau et Julien Bayou, assis à quelques places d'écart seulement. Le 19 septembre, la députée des Verts l'a accusé de violences psychologiques envers une ex-compagne. Resté silencieux pendant deux semaines, l'ancien président du groupe écologiste à l'Assemblée s'est exprimé, mardi 4 octobre, dans l'émission C à vous de France 5. "Je pense vraiment que c'est allé trop loin", a-t-il affirmé.
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