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Nathalie Kosciusko-Morizet et le FN : "Je n'ai pas changé de position"

Nathalie Kosciusko-Morizet a affirmé lundi sur France 2 qu'elle n'avait pas "changé de position" en approuvant la position de son parti, l'UMP, sur le refus de désistement en faveur de candidat PS en cas de triangulaire avec le FN.
Article rédigé par Francetv 2012
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
NKM au QG de campagne (LIONEL BONAVENTURE / AFP)

Nathalie Kosciusko-Morizet a affirmé lundi sur France 2 qu'elle n'avait pas "changé de position" en approuvant la position de son parti, l'UMP, sur le refus de désistement en faveur de candidat PS en cas de triangulaire avec le FN.

L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui avait pris des positions marquées contre le Front national, a défendu la position de son parti, l'UMP, sur le second tour. Elle a estimé que le Front républicain, rejeté par l'UMP, c'est le "refus des extrêmes". Or, selon elle, c'est le PS qui "empèche le Front républicain" en raison de ses accords avec le Front de gauche.

"Je n'ai pas changé de position. Je ne m'associerai jamais avec le Front national", a-t-elle affirmé sur le plateau du 20 heures de France 2. Elle avait écrit un livre contre le parti de Marine Le Pen qui l'a mise sur la liste des personnes à battre au second tour des législatives

Elle a mis en cause les accords entre le PS et le Front de gauche, un mouvement qui, selon elle, défend le régime cubain. Elle a aussi affirmé : "l'antisémitisme de gauche est ce mieux que l'antisémitisme de droite", reprenant ainsi, sans le préciser, des attaques de Jean-François Copé.

Elle a indiqué que du temps de Pierre Mendès-France, le PS ne comptabilisait pas les voix du PC. Allusion à l'arrivée au pouvoir de PMF (qui était radical) en 1954, sans prendre en compte le soutien des communistes

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