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Perquisition au siège de La France insoumise : l'histoire secrète d'une journée mouvementée

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Perquisition au siège de la France insoumise : l'histoire secrète d'une journée mouvementée
Perquisition au siège de la France insoumise : l'histoire secrète d'une journée mouvementée Perquisition au siège de la France insoumise : l'histoire secrète d'une journée mouvementée (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2
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France 2 revient sur le 16 octobre 2018, jour de la perquisition houleuse de la permanence de La France insoumise, où Jean-Luc Mélenchon est entré dans une colère noire.

Jean-Luc Mélenchon doit comparaître jeudi 19 septembre, en compagnie de trois autres députés, et deux membres de La France insoumise, pour "rébellion, provocation, et acte d'intimidation envers l'autorité judiciaire". C'est le procès de la perquisition houleuse du 16 octobre 2018. Le leader insoumis s'était montré menaçant sous l'œil des caméras. "La République, c'est moi", avait-il alors hurlé au visage d'un gendarme barrant l'entrée des locaux de La France insoumise.

"J'avais le droit à un minimum d'explications"

"Je crois même que nos nez se sont touchés. Malgré tout le respect que j'ai pour sa fonction, et malgré ses hurlements, il était hors de question pour moi de baisser les yeux", a ensuite témoigné le gendarme. "Je ne pense pas que ce soit de l'outrage de rappeler que je suis parlementaire, et que j'avais le droit à un minimum d'explications", a de son côté justifié l'élu. Bernard Pignerol, conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon, a, lui, tout fait pour éviter un contact physique, qui "pouvait entraîner un débordement général".

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