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Politique : Michel Barnier, l'invité du 20h22 du mardi 2 novembre 2021

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Politique : Michel Barnier, l'invité du 20h22 du mardi 2 novembre 2021
Politique : Michel Barnier, l'invité du 20h22 du mardi 2 novembre 2021 Politique : Michel Barnier, l'invité du 20h22 du mardi 2 novembre 2021
Article rédigé par France 2 - N. Saint-Cricq, M. Bouhafsi
France Télévisions
France 2

L'ancien commissaire européen et candidat à la présidentielle, Michel Barnier, était l'invité du 20h22 mardi, sur le plateau du Journal de 20 Heures de France 2. L'homme politique est revenu sur plusieurs thématiques, dont son programme et Éric Zemmour.

Il est connu comme étant le "Monsieur Europe" de la France, mais désormais, Michel Barnier vise l'Élysée. Invité de l'émission 20h22 du Journal de 20 Heures de France 2 mardi 2 novembre, l'homme politique, qui se revendique gaulliste, a abordé différents thèmes. Interrogé sur son programme politique, Michel Barnier est revenu sur la question de l'immigration, évoquant une stratégie européenne qui reposerait sur le dialogue. "Je souhaite arrêter ce flux d'immigration clandestine et pendant 3 à 5 ans remettre à plat les procédures, négocier avec les pays européens voisins pour une vraie politique d'immigration", a indiqué l'ancien commissaire européen. Une politique assumée par le candidat, qui a déclaré avoir obtenu plus de 700 parrainages d'élus à travers la France.

Éric Zemmour, un candidat qui "ajoute de l'aggressivité"

Le candidat à la primaire des Républicains a également été interrogé sur celui qui joue les trouble-fête dans la course à l'Élysée, Éric Zemmour. Les prises de position du polémiste scandalisent Michel Barnier. "Notre pays est déjà plein d'agressivité, de tensions et de stigmatisations, nous n'en avons pas besoin de plus. Ce n'est pas en ajoutant de l'agressivité à l'agressivité que nous allons résoudre le problème", a estimé le candidat à la présidentielle de 2022. Michel Barnier, qui a longtemps contribué à la politique européenne, s'est aussi exprimé sur la question des licences de pêche, affirmant que Boris Johnson devait "respecter sa signature" afin d'éviter "des mesures de rétorsion" en cas d'absence d'accord entre la France et le Royaume-Uni.

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