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En images Comment les candidats à la primaire de la droite dézinguent Sarkozy

Article rédigé par Clément Parrot
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min

Le coup d'envoi de la primaire de droite a été officiellement donné vendredi, avec le début de la récolte des parrainages. Mais au regard des déclarations des candidats, le match est lancé depuis déjà plusieurs mois.

A vos marques, prêts, partez ! Le début de la course à l'investiture a été officiellement lancé par la Haute autorité de la primaire de la droite et du centre, vendredi 22 avril. Cette dernière a publié le guide électoral et le formulaire de parrainage.

Pour l'instant, douze candidats sontdéjà sur la ligne : François Fillon, Alain Juppé, Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé, Hervé Mariton, Nadine Morano, Jacques Myard, Geoffroy Didier, Frédéric Lefebvre, Jean-Frédéric Poisson, et un parfait inconnu, Hassen Hammou.

Nicolas Sarkozy devrait se déclarer à la fin de l'été, et les autres candidats l'ont bien compris : dans les médias, la majorité d'entre eux tente depuis plusieurs mois de compliquer la tâche de l'ancien président de la République. Défaite de 2012, ennuis judiciaires, gestion du parti, ses idées... Rien n'est épargné au président des Républicains.

Dès l'annonce de sa candidature à la primaire, dans l'émission "Le Grand Rendez-Vous" d'Europe 1-Le Monde-i-Télé, le 21 septembre 2014, Alain Juppé a tenu à montrer qu'il ne se laisserait pas intimider par Nicolas Sarkozy qui avait évoqué la condamnation judiciaire de l'ancien Premier ministre. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
Nadine Morano n'a pas apprécié être lâchée par Nicolas Sarkozy en pleine polémique sur la race blanche, comme le montrent ses déclarations au Point, le 30 septembre 2015. Depuis, une réconciliation semble être en cours, mais l'ancienne secrétaire d'Etat n'a pas oublié pour autant. (ALEXANDER KLEIN / AFP)
François Fillon est devenu le candidat le plus offensif vis-à-vis de ses concurrents, et Nicolas Sarkozy n'échappe pas aux piques, comme dans cet entretien publié dans le Monde, le 9 avril 2016. (JOEL SAGET / AFP)
Jean-François Copé souhaite tirer les enseignements du quinquennat Sarkozy, le 19 janvier 2016, dans un entretien à L'Obs. (JOEL SAGET / AFP)
Frédéric Lefebvre reproche à Nicolas Sarkozy un virage droitier, le 26 janvier 2016, dans le JDD. (CITIZENSIDE / FRANÇOIS LOOCK / AFP)
Nathalie Kosciusko-Morizet reproche aussi à Nicolas Sarkozy d'empêcher le débat d'idées au sein de son parti, le 18 avril 2016, dans Paris Match. (LOIC VENANCE / AFP)
Dans Libération, le 6 mars 2015, Jacques Myard répond à Nicolas Sarkozy qu'avant de critiquer il vaut mieux faire le ménage devant sa porte. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
Hervé Mariton, le 11 janvier 2016 sur France 2, conseille à Nicolas Sarkozy de ne pas se présenter à la primaire de droite. (CITIZENSIDE / CHRISTOPHE ESTASSY / AFP)
Bruno Le Maire n'épargne pas Nicolas Sarkozy, le 17 décembre 2015, sur France info. (MATTHIEU ALEXANDRE / AFP)

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