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"Édouard Philippe peut être la solution d’une organisation de la majorité présidentielle plus puissante", estime Jean-Pierre Raffarin

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« Édouard Philippe peut être la solution d’une organisation de la majorité présidentielle plus puissante », estime Jean-Pierre Raffarin
« Édouard Philippe peut être la solution d’une organisation de la majorité présidentielle plus puissante », estime Jean-Pierre Raffarin « Édouard Philippe peut être la solution d’une organisation de la majorité présidentielle plus puissante », estime Jean-Pierre Raffarin (France 2)
Article rédigé par France 2 - C. Roux
France Télévisions

Ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin est l’invité des "4 Vérités" de France 2, lundi 8 novembre. 

Lundi 8 novembre au soir, les cinq candidats LR vont débattre. "Dans les sondages c’est Xavier Bertrand qui est le mieux placé", explique Jean-Pierre Raffarin invité des « 4 Vérités » de France 2, lundi 8 novembre. Dans son livre "Choisir un chef", l’ancien Premier ministre semble plutôt préférer Valérie Pécresse. "C’est quelqu’un qui a réussi dans tous les postes qu’elle a assumés jusqu’à maintenant. C’est quelqu’un qui a la capacité à exercer des responsabilités", précise-t-il, tout en se disant "contre cette logique de primaire". Jean-Pierre Raffarin ne participera d’ailleurs pas au scrutin, n’étant plus adhérent LR. 

Zemmour, "un leader de circonstance"

La droite part-elle avec trop de retard ? "Je pense qu’ils ont beaucoup de retard. Ce calendrier est trop tardif", fustige l’ancien Premier ministre. Que penser d'Éric Zemmour, qui monte dans les sondages ? "C’est un leader de circonstance. Il y a un certain effondrement de madame Le Pen, il prend cette place-là. Est-ce que cela va durer ? Tout cela est incertain", affirme Jean-Pierre Raffarin. 

Que penser de la position du président de la République ? "On voit bien aujourd’hui que Macron a un leadership fort mais un appareil faible. Peut-être qu’Édouard Philippe peut pour lui être la solution d’une organisation de la majorité présidentielle plus puissante, parce qu’il faut gagner les législatives", conclut l’ancien Premier ministre. 

 

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