Cet article date de plus de douze ans.

Législatives : Royal l'emporterait dans tous les cas de figure à La Rochelle

Selon un sondage Ifop, Ségolène Royal creuse l'écart au premier tour face à son rival, ex-socialiste, Olivier Falorni. Et elle l'emporterait dans tous les cas de figure au deuxième.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Ségolène Royal, quitte le QG de campagne de François Hollande, à Paris, le 9 mai 2012. (FRED DUFOUR / AFP)

Ségolène Royal (PS) a creusé l'écart par rapport à son rival, l'ex socialiste Olivier Falorni pour le premier tour des législatives et l'emporterait dans tous les cas de figure au deuxième, selon un sondage Ifop pour Sud Ouest, La Nouvelle République et France Bleu à paraître mercredi 6 juin.

Au premier tour, avec 36% des intentions de vote face à l'ex-patron PS de la Charente-Maritime, Olivier Falorni, (22%), la présidente de la région Poitou Charentes améliore son score de trois points par rapport au précédent sondage en date du 1er juin. Elle continue de devancer Olivier Falorni, qui perd trois points alors qu'il était précédemment crédité de 26% des intentions de vote.

L'hypothèse d'une triangulaire envisageable

La candidate UMP, Sally Chadjaa, améliore également son score, obtenant 21,5% des suffrages contre 19,5% lors de la précédente enquête. La candidate devant franchir la barre des 12,5% des inscrits pour participer au 2e tour, l'hypothèse d'une triangulaire est plus que jamais envisageable.

En cas de triangulaire, l'ex-candidate à la présidentielle serait élue avec 43% des suffrages, loin devant la candidate UMP (30%) et Olivier Falorni, le candidat de gauche (27%). Le score de Ségolène Royal serait plus serré (51%) dans le cas d'un duel avec Olivier Falorni (49%). Elle l'emporterait cependant largement (58%) dans le cas d'un affrontement avec Sally Chadjaa (42%).

 

Le sondage a été réalisé selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession) après stratification par canton et catégorie d'agglomération. Les interviews ont été faites par téléphone du 2 au 4 juin auprès d'un échantillon de 603 personnes. La marge d'erreur est de 2,4%.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.