L'intervention du président minute par minute
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21h50 : A ce stade, Nicolas Sarkozy déclare ne pas vouloir prendre d'engagement sur son éventuelle candidature à un second mandat.
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21h47 : la négation de la Shoah par l'évêque intégriste Mgr Williamson est "inadmissible" et "choquante".
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21h45 : Le président annonce regretter la phrase "quand il y a une grève en France, plus personne ne s'en aperçoit"
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21h43 : Nicolas Sarkozy défend Valérie Pécresse et affirme qu’il ne reculera pas sur le statut des enseignants-chercheurs.
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21h40 : A propos de la désignation des présidents de l'audiovisuel public par le président de la République : "Nous passons d'un système d'hyprocrisie totale à un système de transparence totale."
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21h35 : Bernard Kouchner garde toute la confiance du président. Et à propos des mutations de hauts fonctionnaires dans la Manche, Nicolas Sarkozy assume : "Il y a eu des brutalités, je ne voulais pas qu'il y ait de brutalités".
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21h30 : "L'euro serait menacé" si ses membres ne faisaient pas preuve "de discipline et de solidarité", en référence aux écarts de taux d'intérêt entre des pays comme la Grèce, très endettée, et l'Allemagne.
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21h27 : Pause gastronomique. "Savez-vous que le chocolat noir est à 5,5% de TVA, et le chocolat au lait à 19,6% ?"
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21h25 : A propos des paradis fiscaux, le président pense qu'il faudra "revoir nos relations avec Andorre et Monaco".
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21h20 : "Je n'engagerai pas de dépenses publiques supplémentaires, notamment sur la règle que j'ai fixée du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux" afin de préserver a signature de la France sur le marché de la dette. "Si je laisse tout aller, la signature de la France, qu'est-ce qu'elle vaudra ?"
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21h15 : Nicolas Sarkozy souhaite "qu’on coordonne nos efforts dans la zone euro", notamment en matière de plan de relance. Selon lui, "il faut refonder le capitalisme".
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21h10 : "Je retournerai à Gandrange" promet Nicolas Sarkozy.
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21h05 : Le président va demander à la Cour des comptes d'enquêter sur les fonds accordés aux banques même s'il se dit "plus choqué par le système de rémunération des traders que des présidents de banque".
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21h00 : La taxe professionnelle sera supprimée en 2010, pour toutes les entreprises, contre les délocalisations, "parce que je veux que l'on garde des usines en France".
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20h55 : "La question du partage du profit" sera évoquée lors de la réunion du 18 février avec les partenaires sociaux. "Je crois à la règle des trois tiers. Sur 100 de bénéfice, il devrait y en avoir 33 aux salariés, 33 dans la poche de l’actionnaire et 33 qui doivent être réinvestis dans l’entreprise".
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20h50 : Pas d'augmentation du salaire minimum prévue. "Si on augmente le Smic, on laisse de côté 83% des gens... Ça ne résout par le problème du chômage, de la pauvreté."
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20h45 : Nicolas Sarkozy souhaite aider le "bas des classes moyennes" . Et évoque plusieurs pistes : suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu, du deuxième tiers de l’impôt sur le revenu, augmentation des allocations familiales, ou pour le 3e âge des "chèques emploi-service payés par l’Etat".
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20h40 : Nicolas Sarkozy recevra les partenaires sociaux le 18 février, pour discuter notamment d'une amélioration de l'indemnisation du chômage partiel... Et prévient : "On va avoir une année 2009 mauvaise".
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20h35 : La somme de 1,4 milliard d'euros d'intérêts que l'Etat percevra cette année au titre des intérêts pour son financement aux banques sera "intégralement" affectée au financement de "mesures sociales".
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20h36 : "La France n'a pas une goutte de gaz, pas une goutte de pétrole"... Mais des idées ?
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20h30 : Le président, droit dans ses bottes, veut "continuer à réformer le pays". Comme l'avait annoncé François Fillon lundi, les réformes restent "d'actualité" et continueront "au même rythme" . Et celle du lycée, "se fera".
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20h25 : "L’argent prêté aux banques n’a pas coûté un centime mais a rapporté de l’argent" aux Français.
- 20h20 : Première phrase de cette interview radio-télévisée, "Nous traversons une crise comme on n'en a pas connue depuis un siècle". "Que les Français soient inquiets, c’est normal", ajoute Nicolas Sarkozy tout en soulignant, qu'il écoutera "aussi tous ceux qui n’ont pas manifesté". Une phrase empruntée à Dominique de Villepin au lendemain des manifestations contre le CPE.
Anne Jocteur Monrozier
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