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Hollande/Trierweiler : l'avocate de la "première dame" désavouée

François Hollande et Valérie Trierweiler "réfléchissent" actuellement à une "clarification" de la situation de leur couple. Deux semaines après les révélations de la presse people, c'est en tout cas ce qu'assurait ce jeudi l'avocate de la "première dame". Et ce avant d'être débarquée par sa cliente qui ne l'avait pas autorisée à s'exprimer. Valérie Trierweiler qui part dimanche en visite en Inde.

Olivier Bost

Radio France

Publié le 24/01/2014 04:52 Mis à jour le 02/05/2014 15:05

Temps de lecture : 1min

"Les affaires privées se traitent en privé ", a
déclaré le 14 janvier François Hollande. Mais une fois de plus ce n'est pas le cas. Ainsi
Valérie Trierweiler a désavoué son avocate
: "Elle a parlé sans savoir et sans être mandatée.
(...) Elle n'est plus mon conseil".

Dans son entretien avec
Le Figaro, un peu plus tôt, M° Frédérique Giffard avait expliqué** que Valérie
Trierweiler souhaitait "réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible" . L'avocate défendait aussi la
compagne du chef de l'Etat qui ne cherche pas, selon elle, à alimenter la polémique : "Valérie reste une femme de gauche. Je ne pense pas qu'elle souhaite que
les difficultés actuelles viennent ternir le quinquennat de François Hollande" . Et elle précisait aussi que Valérie
Trierweiler était consciente qu'une clarification s'imposait. Ce ne sera donc pas
encore cette fois-ci.

Et le directeur de cabinet de la "première
dame", Patrice Biancone, a indiqué à l'agence France presse qu'il était
"la seule personne habilitée à parler au nom de Valérie Trierweiler".

Deux jours en Inde*

La "première dame" qui part ce dimanche pour deux jours en Inde. Une visite de soutien à Action contre la faim et qui est financée par les partenaires de cette ONG. Au cours de cette visite qualifiée de "privée", elle va déjeuner avec des femmes, se rendre dans le principal bidonville de Bombay et participer à un dîner de gala. Un déplacement programmé avant les révélations sur la vie privée du président de la République.