Retrouvez ici l'intégralité de notre live #GRAND_DEBAT
23h46 : Edouard Philippe n'est pas un adepte du "RIC". Il s'en est expliqué lors de la réunion publique à Sartrouville (Yvelines).
23h23 : "Le RIC me hérisse. Cela ne veut pas dire que je ne suis pas pour le référendum."
Edouard Philippe, présent à une réunion publique, dit préfèrer le "référendum d'initiative partagé" à l'initiative des députés avec des textes de propositions de loi.
23h05 : Pendant ce temps, dans l'émission "Balance Ton Post" sur C8 en présence de la secrétaire d'Etat Marlène Schiappa, on parle aussi fiscalité. Plusieurs propositions sont mises sur la table : la suppression de la TVA sur les produits de première nécessité et le rétablissement de l'ISF pour les salaires les plus élevés.
22h59 : "On va s'engager cette année dans une taxation des Gafa. Un projet de loi sera déposé dans le premier semestre de 2019."
Le Premier ministre participe à une réunion publique à Sartrouville (Yvelines). Il répond aux questions portant sur la fiscalité.
21h18 : Vous pouvez suivre la réunion publique, où est présent Edouard Philippe, en direct de franceinfo canal 27.
21h06 : Edouard Philippe s'est à son tour invité dans une réunion locale, dans les Yvelines
17h02 : Quinze Français sur le plateau, Marlène Schiappa comme modératrice, trois thèmes abordés... Franceinfo fait le point sur l'émission spéciale grand débat national de Cyril Hanouna, diffusée ce soir sur C8.

(JOEL SAGET / GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
15h09 : Chaque jour, franceinfo vous propose de faire étape dans une commune de France pour juger de l'accueil fait au grand débat national voulu par Emmanuel Macron. Vendredi : Saint-Briac, en Ille-et-Vilaine.

(MAXPPP)
11h48 : Sur LCI, la présidente de la Commission nationale du débat public, Chantal Jouanno, estime que "le grand débat est faussé". Selon elle, la méthode choisie par le gouvernement est propice à une "opération de communication". Chantal Jouanno s'était retirée début janvier de l'organisation du grand débat, en raison d'une polémique sur son salaire.
11h32 : "Il faut proposer de vraies réformes, mais les vraies réformes, elles vont avec les contraintes, les enfants !" Emmanuel Macron s'est adressé ainsi aux personnes qui l'écoutaient lors du débat citoyen à Bourg-de-Péage (Drôme) hier. Et le président d'ajouter : "Parce que si derrière on veut ceci, comment on le finance ? C'est pas open bar. Le bar, c'est le nôtre." Revoici la séquence :
11h08 : "Je suis très surprise, il faudrait presque lancer une alerte enlèvement". Interrogée sur les interventions d'Emmanuel Macron pour le grand débat, Rachida Dati s'est demandée sur franceinfo : "Où est le Premier ministre, où est le gouvernement ?"
10h05 : Le "gilet jaune" Thierry, lui, n'a pas été convaincu par Emmanuel Macron, mais s'est montré sensible à "l'honneur" de la visite du président dans ce débat-citoyen organisé à Bourg-de-Péage (Drôme) hier. Franceinfo l'a rencontré lui et sa femme. Reportage.
09h55 : Le président de la République s'est invité à un débat organisé par la maire sans étiquette de Bourg-de-Péage, hier. Des "gilets jaunes" étaient présents dans la salle et "il n'y avait pas de haine du tout", a souligné Nathalie Nieson. Son interview sur franceinfo est à retrouver ici.
08h48 : Qui va, par exemple, lire et synthétiser toutes ces contributions ? A l'heure actuelle, on ne sait pas. Selon la mission du grand débat, plusieurs propositions de divers prestataires ont été faites aux cinq garants. Ce sera à eux de valider les choix proposés.
08h50 : En 48 heures, 200 000 contributions ont été déposées sur le site du grand débat, selon l'un des ministres en charge du dossier, Sébastien Lecornu. Si les contributions affluent, de nombreuses questions sur posent sur leur transmission, mais aussi leur traitement. Je vous l'explique dans cet article.

08h38 : Si vous ne l'avez pas vu hier, voici un des échanges entre Emmanuel Macron et un participant au débat citoyen organisé à Bourg-de-Péage (Drôme) hier, dans lequel le président s'est invité par surprise. Interpellé sur son passé de banquier d'affaires au sein de Rothschild & cie, le chef d'Etat répond qu'il n'est "pas un héritier".
08h38 : "J'étais venu pour lui parler de cette France des territoires qui est la nôtre et qu'il connaît mal."
Le patron des Républicains a rencontré Emmanuel Macron hier lors de la troisième étape du débat national à Valence (Drôme). Il en fait le compte-rendu au Dauphiné libéré dans une conversation téléphonique enregistrée. Selon lui, il a rappelé au président que "chez nous, les retraites sont souvent inférieures à 1 000 euros. Il m'a dit : 'Ah bon, il y a encore des problèmes avec les retraites ?' Je lui ai dit : 'Oui, il y a encore des problèmes avec les retraites (...). La crise, vous n'en sortirez pas juste avec des débats."