Vidéo "Un mineur de 16 ans aujourd'hui n’a rien à voir avec un mineur des années 70", estime la ministre Catherine Vautrin

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Durée de la vidéo : 8 min
“Un mineur de 16 ans aujourd'hui n’a rien à voir avec un mineur des années 70”, estime Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation
“Un mineur de 16 ans aujourd'hui n’a rien à voir avec un mineur des années 70”, estime Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation “Un mineur de 16 ans aujourd'hui n’a rien à voir avec un mineur des années 70”, estime Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation (FRANCE TELEVISIONS)
Article rédigé par France 2
France Télévisions
Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, était l’invitée des “4 Vérités” de France 2 du mercredi 2 octobre.

Différents sujets ont été abordés mardi 1er octobre par Michel Barnier, lors de son discours de politique générale. Parmi eux, celui sur la sécurité. Très important pour les territoires, il concerne tous les ministères. Le Premier ministre a réclamé des peines de prison plus courtes pour certains délits, mais exécutées dans des prisons spéciales. Interrogée à ce sujet sur le plateau des “4 Vérités”, mercredi, Catherine Vautrin a expliqué : “Nos concitoyens souhaitent souligner le travail de la police et de la gendarmerie et, ensuite, une réponse pénale qui peut être améliorée”.

“Des réponses, avec derrière, un accompagnement”

Selon la ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, ce dernier point peut être amélioré. “Le Premier ministre est revenu sur le sujet des prisons, comme il est revenu sur celui de l’excuse de minorité, qui était un point très souvent évoqué parce qu’évidemment, un mineur de 16 ans aujourd'hui n’a rien à voir avec un mineur des années 70. Tout ça nécessite concrètement des réponses, avec derrière, bien évidemment un accompagnement”, a estimé Catherine Vautrin.

Retrouvez l'intégralité de l'interview dans la vidéo ci-dessus.

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