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Politique : grève contre la vie chère, revers de la majorité à l'Assemblée… le rendez-vous du 12/13 du jeudi 13 octobre

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Politique : grève contre la vie chère, revers de la majorité à l'Assemblée… le rendez-vous du 12/13 du jeudi 13 octobre
Politique : grève contre la vie chère, revers de la majorité à l'Assemblée… le rendez-vous du 12/13 du jeudi 13 octobre Politique : grève contre la vie chère, revers de la majorité à l'Assemblée… le rendez-vous du 12/13 du jeudi 13 octobre
Article rédigé par France 3 - C. Motte
France Télévisions

L'actualité politique est mouvementée, jeudi 13 octobre. Alors qu'une importante manifestation se prépare à Paris, la majorité a subi un nouveau revers durant la nuit, à l'Assemblée nationale. Le point avec la journaliste Caroline Motte.

Pour certains, la grève est devenue un symbole des clivages politiques. "Dans trois jours, c’est la grande marche contre la vie chère à l’appel de la NUPES, elle a donc tout intérêt à s’afficher sur les piquets de grève : Ce sera dimanche après-midi de Nation à la place de la Bastille", rapporte la journaliste Caroline Motte, présente, jeudi 13 octobre, sur le plateau du 12/13. La députée Mathilde Panot, ainsi que d'autres, étaient présents mercredi auprès des grévistes à Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime). Une opération de soutien, mais aussi de communication : la NUPES espère selon la journaliste "profiter de [la] grogne sur le carburant pour gonfler les rangs de cette grande marche". Dans l’hémicycle, Gabriel Attal a de son côté "tenté de minimiser l'événement". "Quand est-ce qu'une manifestation a rempli le frigo des Français ?", s'est-il emporté.

Un nouveau revers à l'Assemblée pour la majorité

La majorité a par ailleurs subi un nouveau revers durant la nuit. Les députés ont en effet voté une mesure sur les "super-dividendes", contre l’avis du gouvernement. L'amendement a été déposé par le député Jean-Pierre (Modem), qui fait pourtant partie de la majorité. Il a été adopté par des députés de la NUPES, du Rassemblement National et 19 députés macronistes, dont le suppléant d’Élisabeth Borne. Avec 227 voix pour et 88 contre, c'est une "grosse déconvenue pour la majorité". Par ailleurs, un site internet créé par un étudiant fait fureur : en tapant un mot dans la barre de recherche, une intelligence artificielle indique si le mot est connoté de gauche ou de droite. Emmanuel Macron, qui "arrive en tête des recherches des internautes", est quant à lui… de droite.

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