Frais de mandat : un député socialiste critiqué dénonce une stigmatisation des élus
Le député a vivement réagi en accusant
Mediapart de livrer "en pâture " sa vie privée, en se
fondant sur des "relevés bancaires personnels" qui ont "été volés ", et en
soulignant être "en conformité avec la loi". Et il affirme que "jusqu'à preuve du contraire, un élu
dispose de ses indemnités et cette ingérence dans l'usage que je fais de mes
revenus personnels n'a d'autre effet que
de stigmatiser les élus dont on sait qu'il est de bon ton de les dresser contre leurs concitoyens".
Selon l'hebdomadaire Marianne
qui publie en partie les mêmes documents, sans citer le nom de ce député, "son cas n'est qu'un parmi des dizaines" et il "ne serait
pas juste, dès lors, de le pointer du doigt plus que sesnombreux comparses".
Selon le site de l'Assemblée
nationale, "l'indemnité représentative de frais de
mandat, d'un montant de 6.412 eurospar mois, doit permettre
aux députés "de faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur
mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l'Assemblée." Sans plus de précisions.
Tous les candidats de la 1ere circonscription de l'Ardèche
M. Stéphane ORIOL (VEC), M. Pascal TERRASSE (SOC), M. François
JACQUART (FG),M. François MARTIGNY (AUT), M. Guérin DE LONGEVIALLE (DVD), M.
André DUPONT (CEN), M. Gilles BAS (ECO), M. Christian GRANGIS (FN), Mme
Patricia SONCINI-SYREN (EXG) et Mme Muriel VANDER DONCKT (EXG).
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