Cet article date de plus de trois ans.

Primaire des écologistes : Sandrine Rousseau déterminée à valoriser ses idées "radicales" en matière d’écologie

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 4 min
Primaire des écologistes : Sandrine Rousseau déterminée à valoriser ses idées "radicales" en matière d’écologie
Primaire des écologistes : Sandrine Rousseau déterminée à valoriser ses idées "radicales" en matière d’écologie Primaire des écologistes : Sandrine Rousseau déterminée à valoriser ses idées "radicales" en matière d’écologie (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S. Khaldoun
France Télévisions

Sandrine Rousseau s’est qualifiée pour le second tour de la primaire des écologistes, dimanche 19 septembre, avec 25,1 % des suffrages. Alice Coffin, soutien de la candidate, était l’invitée du 23h de franceinfo.

Derrière Yannick Jadot (27,7 %), Sandrine Rousseau a réussi à se qualifier pour le second tour des écologistes avec 25,1 % des voix, dimanche 19 septembre. Du 25 au 28 septembre, deux nuances écologistes vont désormais s’affronter pour représenter le parti en 2022. "C’est une très bonne nouvelle pour Sandrine Rousseau, pour ses équipes, mais aussi pour le pays. Le choix qui s’est opéré lors de ce premier tour veut dire qu’on a beaucoup de Français prêts à voter pour un changement", estime Alice Coffin, conseillère écologiste à la mairie de Paris, soutien de Sandrine Rousseau.

Une "radicalité" nécessaire ?

Cette dernière a rappelé que le slogan de Sandrine Rousseau était "Oui, les temps changent". "Je pense que c’est ça que montrent les résultats. Le score de Yannick Jadot est très bas par rapport à ce qui était prédit. Delphine Batho et Éric Piolle ont des scores élevés aussi. Ils sont comme Sandrine Rousseau, sur une écologie qui se veut radicale, avec des mesures de rupture. On ne peut pas continuer sur le chemin que l’on a pris depuis des décennies", a répondu Alice Coffin, avant de conclure : "Ce qui me fait peur, c’est qu’on a des gouvernants qui n’optent pas pour cette radicalité".

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.