Nouveau Premier ministre : le groupe Liot rencontrera Emmanuel Macron à l'Elysée lundi
Ce qu'il faut savoir
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Le groupe Liot (Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires), inscrit jusque-là dans l'opposition, rencontrera Emmanuel Macron lundi dans la matinée à l'Elysée, a appris franceinfo auprès de ce groupe, samedi 7 décembre. Les détails de cet échange restent encore à affiner, sur fond de formation du futur gouvernement. Plus tôt, Les Ecologistes avaient annoncé accepter l'invitation du président pour un rendez-vous le même jour, au contraire de La France insoumise qui a prévenu vendredi soir qu'elle ne s'y rendrait pas.
Le PS prêt à des "concessions réciproques". Olivier Faure et les chefs des groupes parlementaires socialistes Boris Vallaud et Patrick Kanner ont été reçus vendredi par Emmanuel Macron. Ils lui ont demandé de nommer un Premier ministre de gauche. Olivier Faure s'est dit prêt à des discussions avec les macronistes et Les Républicains, sur la base de "concessions réciproques", afin de sortir de l'impasse institutionnelle.
Les Républicains reçus vendredi soir. "Nous ne céderons pas à la facilité de la censure, sauf dans une seule hypothèse qui serait celle d'un gouvernement mettant en œuvre le programme du nouveau Front Populaire, ou comportant des députés de la France Insoumise", a déclaré le président du parti Laurent Wauquiez, vendredi soir, à l'issue de consultations avec Emmanuel Macron. La participation de LR au futur gouvernement dépendra, selon lui, du "contrat de gouvernement" proposé.
LFI refuse l'invitation d'Emmanuel Macron. Les communistes ont eu "un contact téléphonique" avec la présidence et devraient rencontrer Emmanuel Macron "probablement lundi", ont-ils fait savoir vendredi. De son côté, la France insoumise a annoncé qu'elle refusait de se rendre à l'Elysée pour des consultations avec le président. "Nous sommes prêts à gouverner sur le programme pour lequel nous avons été élus", a déclaré le coordinateur national du parti, Manuel Bompard.
Le Live
- franceinfoIl y a 0 sec#NOTRE_DAME De nombreuses personnalités politiques françaises sont déjà présentes à l'intérieur de la cathédrale. Michel Barnier, Jean-Noël Barrot, Marc Fesneau, Franck Riester, Gabriel Attal, Valérie Pécresse, Sylvain Maillard, Bruno Le Maire... On attend à présent le président. #POLITIQUE
- franceinfoIl y a 0 sec#POLITIQUE La permanence du député RN de Dordogne Serge Muller a été dégradée hier par des agriculteurs de la FDSEA et par les Jeunes agriculteurs du département, rapporte France Bleu Périgord. Ils lui reprochent d'avoir voté la motion de censure contre le gouvernement Barnier.
- franceinfoIl y a 0 sec#POLITIQUE "Cela nous désole", "une bonne chose"... Les chefs du parti socialiste se sont entretenus avec Emmanuel Macron dans la perspective de la formation d'un nouveau gouvernement, tandis que LFI a refusé de participer aux discussions. Le Nouveau front populaire peut-il y survivre ? Nous avons interrogé des électeurs.
- franceinfoIl y a 0 sec#POLITIQUE "On ne censurerait pas, a priori, un Premier ministre de gauche", a assuré Pierre-Henri Dumont, ancien député Les Républicains. Une seule ligne rouge, a rappelé Pierre-Henri Dumont : un gouvernement mettant en œuvre le programme du Nouveau Front populaire ou comportant des ministres de La France insoumise.
- franceinfoIl y a 0 sec#POLITIQUE Les Ecologistes se rendront bien à l'Elysée, lundi, à l'invitation d'Emmanuel Macron. "Il doit nommer un Premier ministre issu des rangs de la gauche et des écologistes", affirme le parti dans un communiqué. Les socialistes et les communistes seront également reçu, mais pas La France insoumise, qui refuse de s'y rendre.
- le point sur l'actuIl y a 0 secIl est midi. Nous faisons un point sur l'actualité de la journée.• #NOTRE_DAME C'est le jour J ! Suivez la réouverture de la cathédrale Notre-Dame dans notre direct. Une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement sont attendus à Paris. En raison de la météo, l'intégralité de l'événement se déroulera finalement à l'intérieur de l'édifice.• #PORTE_PUYMORENS Le conducteur de l'autocar qui avait fait une sortie de route à Porté-Puymorens (Pyrénées-Orientales), tuant deux passagers, a été mis en examen et placé en détention provisoire, a annoncé le parquet de Marseille. Le chauffeur a été testé positif à des traces de cocaïne.• #METEO Quinze départements du Nord-Ouest et des Pyrénées sont placés en vigilance orange aux vents violents ou à la neige-verglas.• #POLITIQUE Le PS, Les Ecologistes et les communistes rencontreront Emmanuel Macron à l'Elysée lundi. La France insoumise a, de son côté, refusé l'invitation, dans le cadre de la recherche d'un nouveau Premier ministre. Suivez notre direct.
- BlancPas55Il y a 0 sec#POLITIQUE Bonjour Pouvez-vous nous expliquer ce qu’aurait changé une dissolution au moment du budget cet automne ? Car c’était ce qui était prévu par les partis extrêmes… merci pour votre aide à comprendreMargaux Duguetfranceinfo Il y a 0 secBonjour @BlancPas55, ce que nous expliquons dans notre analyse avec Laure Cometti, c'est que le récit aurait été sans doute très différent si Emmanuel Macron avait subi une motion de censure plutôt que de provoquer une dissolution pour l'éviter. Son image dans l'opinion aurait sans doute été différente, comme l'explique dans l'article le sondeur Mathieu Gallard. Cette motion était, de plus, clairement agitée par une partie de la classe politique mais ce n'était pas non plus une décision actée et annoncée par un parti.
- franceinfoIl y a 0 sec#POLITIQUE "Il faut être ouvert au dialogue", a déclaré le député socialiste de Paris Emmanuel Grégoire, au sujet de la recherche d'un nouveau Premier ministre. Mais "si c'est un gouvernement de droite, nous n'y participerons pas et ils devront discuter des conditions d'une non-censure avec nous", a-t-il assuré.
- Margaux Duguetfranceinfo Il y a 0 sec#POLITIQUE "Je ne comprends pas qu'Emmanuel Macron ne comprenne pas que les Français ne comprennent pas", ironise un député macroniste. L'objet de cette incompréhension entre le président de la République et l'opinion se résume en un choix : celui de dissoudre de l'Assemblée nationale. Lors de son allocution jeudi, le chef de l'Etat s'est non seulement exprimé sur la censure du gouvernement de Michel Barnier, mais il est aussi revenu plusieurs minutes sur sa décision, le 9 juin, de recourir à l'article 12 de la Constitution pour organiser des élections législatives anticipées. Récit et analyse de ce choix présidentiel d'où tout découle aujourd'hui avec Laure Cometti :Margaux Duguetfranceinfo Il y a 0 sec"Le chef de l'Etat a tenté d'expliquer cette dissolution mais ça ne convainc pas l'opinion. Aux yeux d'une grande majorité des Français, c'est lui le responsable de cette situation", analyse Mathieu Gallard, directeur d'études chez Ipsos. "Personne ne peut dire que la dissolution était une bonne idée, avec 100 députés de moins pour nous et tout le bordel", reconnaît aujourd'hui un proche d'Emmanuel Macron.
- franceinfoIl y a 0 sec#POLITIQUE "Nous irons lundi à 10 heures rencontrer le président de la République", a assuré le chef de file des députés communistes André Chassaigne, répondant favorablement à l'invitation d'Emmanuel Macron. "Il n'y a pas d'hésitation en ce qui nous concerne", a ajouté le communiste, alors que les Insoumis ont prévenu qu'ils ne se rendraient pas à l'Élysée.
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