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Benoist Apparu rappelle à Dominique de Villepin qu'il est "un candidat de droite"

Le secrétaire d'Etat au Logement, Benoist Apparu, a rappelé, lundi 26 décembre, à Dominique de Villepin, qui reproche à Nicolas Sarkozy d'être un "président de droite", qu'il est bien, lui aussi, "un candidat de droite" à l'élection présidentielle.
Article rédigé par Dominique Cettour-Rose
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Benoist Apparu, secrétaire d'Etat au Logement. (FRANCOIS GUILLOT / AFP)

Le secrétaire d'Etat au Logement, Benoist Apparu, a rappelé, lundi 26 décembre, à Dominique de Villepin, qui reproche à Nicolas Sarkozy d'être un "président de droite", qu'il est bien, lui aussi, "un candidat de droite" à l'élection présidentielle.

Pour Benoist Apparu, Dominique de Villepin, le fondateur de République solidaire, candidat à l'élection présidentielle, est bien "un candidat de droite".

"Il a été Premier ministre de droite si mes souvenirs sont bons. Il m'avait semblé que Jacques Chirac était plutôt de droite, il m'avait semblé que lorsque Dominique de Villepin était Premier ministre, il avait une majorité UDF-UMP, plutôt donc des partis politiques de droite", a-t-il déclaré lundi sur France 2.

"Donc ça a été un Premier ministre de droite" et "c'est aujourd'hui un candidat à l'élection présidentielle de droite", a-t-il souligné.

Dominique de Villepin n'est pas la victime de Clearstream

Revenant sur l'affaire Clearstream, le secrétaire d'Etat au Logement a estimé que, si "les tribunaux ont décidé, à juste titre", que "l'accusé" Dominique de Villepin "n'était pas coupable", "la victime c'était Nicolas
Sarkozy et pas Dominique de Villepin".

"Donc arrêtons d'inverser les choses et de faire de Dominique de Villepin la victime de Clearstream. Ce n'est pas ça l'histoire", a-t-il insisté. "Nous avons aujourd'hui, il le revendique, un président de droite.

La France ne peut pas vivre avec un président hémiplégique qui représente une seule partie des Français", a déclaré dimanche M. de Villepin sur Europe 1 en appelant de ses voeux "un président arbitre", "qui rassemble".

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