: Vidéo Soupçons de financement libyen : "Il n'y a que des mensonges dans ce qu'a dit Nicolas Sarkozy", affirme Mediapart
Sur le plateau de "C l'hebdo", sur France 5, le journaliste de Mediapart Fabrice Arfi affirme que Nicolas Sarkozy a été informé de son interrogatoire dès le 8 février.
"Ce n'est pas parce que c'est un ancien président de la République qu'il détient plus la vérité que n'importe qui". Sur le plateau de "C l'hebdo", sur France 5, Fabrice Arfi revient sur la défense de Nicolas Sarkozy lors de son passage au 20 heures de TF1. Le journaliste de Mediapart affirme que Nicolas Sarkozy a été informé de son interrogatoire dès le 8 février. Il a été mis en examen mercredi 21 mars dans l'enquête sur le financement de sa campagne présidentielle de 2007.
#NicolasSarkozy serait informé de son interrogatoire depuis… le 8 février :
— C l’hebdo (@clhebdo5) 23 mars 2018
L’info de @Fabricearfi contredit totalement les propos de l’ancien président !
On le retrouve demain à 19h dans #Clhebdo sur @France5tv pic.twitter.com/Vtcg3sPQOb
"Qu'est-ce qui pouvait justifier la garde à vue ?" s'est interrogé Nicolas Sarkozy dès le début de son intervention. Et d'ajouter : "Les policiers ont fait leur travail. Je ne suis pas au-dessus des lois, je ne suis pas en dessous non plus." Revenant sur son placement en garde à vue, mardi matin, il a déclaré ne pas avoir été mis au courant au préalable : "J'ai reçu un coup de téléphone à 8 heures du matin et l'on m'a dit que j'étais en garde à vue. Mediapart était au courant 10 minutes plus tard", a-t-il lancé.
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