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A partir de samedi, "les internautes parlent aux internautes"

Les contrevenants sont prévenus. En cas de diffusion d'estimation de résultats ou de sondages avant 20 heures dimanche 22 avril, ils encourent une amende de 75.000 euros. Pourtant certains, acrobates, fomentent déjà de subtiles parades.
Article rédigé par Catherine Rougerie
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Les contrevenants risquent 75 000€ d'amende (Photo JM/FTV)

Les contrevenants sont prévenus. En cas de diffusion d'estimation de résultats ou de sondages avant 20 heures dimanche 22 avril, ils encourent une amende de 75.000 euros. Pourtant certains, acrobates, fomentent déjà de subtiles parades.

Les dimanches 22 avril et 6 mai, la toile sera sous haute surveillance. Et gare aux resquilleurs. La sanction maximale prévue se chiffre à 75.000 euros.

En charge de cette mission : la Commission nationale de contrôle de la campagne électorale en vue de l'élection présidentielle. Mais elle aura fort à faire. Outre les 25 millions d'utilisateurs de Facebook et les 5,2 millions de twittos, les membres de la commission devront démêler les messages codés.

Car quelques internautes s'apprêtent à résister sur la toile. Dans une version revue façon geek, ils s'apprêtent à ranimer le souffle de Radio Londres.

Version codée

Pour émettre des tendances, sans se faire prendre, les messages codés commencent à circuler.

A titre d'exemple, voici un premier florilège. Evidemment, ceux qui ont suivi la campagne partent avec un net avantage.

Dans la même veine, et aussi très imagé.

La créativité étant sans borne, tous les camps inspirent.

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