Politique du gouvernement : poursuites et abandons
Pour le Parti de gauche, aussi, "C'est le peuple qui doit dire s'il a confiance", indique-t-il dans un communiqué. Et on s'arrête un instant sur le fond des choses, maintenant. Les tenants de l'aile gauche sont-ils dans le vrai lorsqu'ils défendent une autre politique ? Bonsoir François Lenglet, on va vous entendre dans un instant. D'abord, pour être concret, voici 3 inflexions de la politique économique que demande notamment Arnaud Montebourg.
Un changement de politique économique. A Bercy, c'est ce que réclamait Mais que voulait-il précisément ? D'abord une vraie relance: soutenir la consommation, baisser les impôts des ménages, pas seulement aider les entreprises. Le contraire de ce que fait Le pacte de responsabilité prévoit 41 milliards d'euros d'aides aux entreprises, et 5 milliards d'euros pour les plus modestes. souhaitait une répartition plus favorable aux ménages. Quitte à oublier la réduction des déficits. Pour lui, limiter à tout prix ces déficits à 3% du PIB est absurde. Le gouvernement reconnaît d'ailleurs que cet objectif ne sera pas tenu l'an prochain. Arnaud Montebourg fustige les politiques d'austérité en Europe, et veut un rapport de force plus équilibré avec l'Allemagne qui, selon lui, impose ses vues à la zone euro.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.