Page de fin
Sous-titrage réalisé par : F. Blanc, P. Perna, H. Michelini, M. Alphaize, M. Berkani, D. Baril, P. Plalacios et Olivier Dasse-Hartaut.
L. Delahousse : Il y avait eu cette phrase qui avait suscité des commentaires de Jacques Chirac à Sarran en 2011. Il avait affirmé.
J. Chirac : J'aime bien Juppé. Mais comme il n'ira pas, par conséquent, je voterai pour vous.
F. Hollande : Vous allez vous faire entendre.
F. Baroin : Je peux dire que je voterai Hollande.
L. Delahousse : "Je voterai Hollande." Stupeur et tremblements a droite. Certains y avaient vu une trahison à Nicolas Sarkozy. Chacun a vu ces dernières images en date du 21 novembre. Cette main appuyée sur l'épaule de l'autre au Quai Branly. Outre cette relation Chirac / / Hollande, nous allons revenir sur d'autres face-à-face de son histoire politique. C'est le document que nous vous proposons aujourd'hui. Avec nous, un grand témoin de cette histoire et de l'actualité : François Baroin. Merci d'être avec nous. Est-ce qu'à droite, être chiraquien, ça veut dire quelque chose.
F. Baroin : Oui. C'est une passion politique de la France et une conception du rôle de l'Etat. Jacques Chirac est un homme qui a consacré sa vie professionnelle à l'intérêt général. Il l'a transmis à des générations comme la mienne et a d'autres générations avant.
L. Delahousse : Vous êtes toujours chiraquien.
F. Baroin : Oui. Je suis rentré en politique grâce à lui. Mes relations sont d'abord personnelles avec lui. Il m'a dit que le pays m'avait donné et qu'il fallait que je lui rende.
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