Nouvelle-Calédonie : sur la route des baleines

Soigné par le Dr Théodore Morell, il prend entre 20 et 40 médicaments par jour.

Il pensait que comme sa mère il mourrait du cancer, jeune. Donc il a accéléré l'échéance de ses conquêtes. Il n'aurait dû déclarer la guerre qu'en 1943, quand l'armée et la marine allemandes auraient été prêtes.

Ce conquérant est un très mauvais stratège. Il n'a pas fait d'école militaire et n'écoute aucun conseiller.

Dans son bunker, il s'isole, ses cartes ne sont pas contrariantes. A partir de 1943, ses divisions sont usées jusqu'à la corde. C'est de la stratégie sur une carte.

Sa seule stratégie : rester le leader jusqu'au bout, malgré la maladie et les échecs militaires il continuera à gouverner d'une main de fer.

Direction la Nouvelle-Caledonie à la découverte des baleines à bosse. Le cétacé fait partie des géants des mers, Un mammifère qui est plus facile à observer en période de reproduction. C'est en ce moment, il y a beaucoup de curieux et des scientifiques.

Dans les eaux de La Nouvelle-Calédonie, le ballet des baleines à bosse reprend chaque année. Chaque hiver austral, elles viennent se reproduire dans le lagon. Dans leur sillage, Claire Garrigue, spécialiste de ces baleines.

Le zodiac vient s‘accoler à ces géants de 15 m, 40 t. Claire photographie les caudales des baleines c’est-à-dire les queues.

On identifie les baleines aux dessins qu'il y a sous leurs nageoires.

Claire tente une biopsie.

C'est l'équivalent pour nous d'une piqûre de moustique.

Avec cette flèche, elle prélève un bout de gras pour procéder à des tests génétiques. Certains tentent d'approcher les cétacés pour la première fois. Ces touristes y ont mis le prix : 75 euros la journée.

On va essayer de repérer les souffles au loin. Ca fait comme une petite fumée au-dessus de l'eau.

Après quelques heures.

On a juste vu le petit.