À 48 heures du scrutin, la fébrilité est à son comble. Donald Trump, subitement évacué en coulisse par deux agents des services secrets. Au pied de la scène, un perturbateur est plaqué au sol. On le croyait armé, c'était en fait une fausse alerte. Quelques minutes plus tard, l'homme d'affaires revient à la tribune. Les meetings s'enchaînent et les supporters sont chauffés à blanc. Pas question d'accepter la victoire d'Hillary Clinton, qu'ils jugent corrompu.Des armées de bénévolesLe rejet d'un côté, la peur de l'autre. Ici à New York, des armées de bénévoles appellent pour mobiliser les électeurs d'Hillary Clinton. Pour conjurer les doutes, la chanteuse Katy Perry donne de la voix, concert géant en faveur de la candidate démocrate. Hillary Clinton peut compter sur le show-business, entièrement mobilisé à sa cause.