Jacques Cardoze est en direct des États-Unis et revient sur les propos belliqueux de Donald Trump en direction de la Syrie. "Le problème de cette administration, c'est qu'elle parle d'au moins deux voix. Il y a celle du président et il y a celle de ses ministres, or celle du président n'est pas forcément la voix prépondérante", explique le journaliste.Le général Mattis, la cléCelui qu'il faut écouter, c'est le général Mattis qui a toujours été constant dans ses déclarations, et qui a indiqué vouloir attendre des preuves sur la responsabilité éventuelle du régime syrien dans l'attaque chimique de Douma, la semaine dernière. "Il y aurait dans tous les cas encore une hésitation militaire sur le type d'actions à mener. La décision n'est pas prise ou en tous les cas, elle n'est pas divulguée", conclut Jacques Cardoze.