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États-Unis : des zones d'ombre dans l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy

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États-Unis : des zones d'ombre dans l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy
États-Unis : des zones d'ombre dans l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy États-Unis : des zones d'ombre dans l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy
Article rédigé par France 2
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Le 22 novembre 1963, John Fitzgerald Kennedy salue la foule à Dallas à bord de sa décapotable. 12h30, des coups de feu retentissent. L'enquête officielle désigne Lee Harvey Oswald comme le principal et l'unique tueur, mais les incohérences subsistent.

C'est une journée qui hante encore de nombreux Américains. Le 22 novembre 1963, John Fitzgerald Kennedy traverse en voiture le centre-ville de Dallas quand il reçoit un premier tir dans le cou. Alors qu'il se tient la gorge, une seconde balle le touche en pleine tête. Très rapidement, son assassin Lee Harvey Oswald 24 ans est arrêté. Avant d'être lui-même tué par un déséquilibré deux jours plus tard. La commission Warren chargée de l'enquête retient la thèse du tueur isolé.

La CIA a-t-elle joué un rôle ?

Mais depuis des décennies, de nombreuses zones d'ombre persistent, car l'intégralité des cinq millions de documents n'a pas été révélée, alors qu'une loi de 1992 impose leur publication. Ces archives pourraient préciser le rôle joué par la CIA qui surveillait déjà avant le drame Lee Harvey Oswald, et révéler si le tueur a agi seul ou en conspiration. Quelque temps avant l'assassinat, il avait séjourné au Mexique et tentait d'approcher des espions russes et cubains.

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