Eurozapping : Scotland Yards cherche un nouveau chef, le bourgmestre de Bruxelles contre le convoi des libertés
Comme chaque soir, le 23h fait un tour de l'actualité diffusée par les chaînes européennes de télévision. C’est l’Eurozapping du vendredi 11 février.
À Bruxelles (Belgique), comme à Paris, les convois de la liberté ne sont pas les bienvenus. "Chez nous le bourgmestre de Bruxelles ne veut pas revivre le scénario des paralysies comme il y a de longues années", déclarait une journaliste sur le plateau de La Une. C'était en septembre 2000, le centre-ville de Bruxelles était paralysé, les routes et les raffineries étaient bloquées. À l'époque, les routiers exigeaient un diesel professionnel moins cher. "Le message est très clair, ils peuvent venir manifester, mais pas avec leurs véhicules et pas avec les camions", affirme Philippe Close, le bourgmestre de Bruxelles.
En Grande-Bretagne, Scotland Yards est à la recherche d'un nouveau chef. La première femme à la tête de la police métropolitaine quitte son poste en pleine enquête sur le 10 Downing Street durant le confinement. Elle vient de perdre la confiance du maire de Londres après la sortie d'un rapport sur des affaires de racisme et de sexisme au sein de la police. "Le maire ne m'a laissé d'autres choix que de me retirer. Je le dis avec une grande tristesse et un profond regret", a-t-elle témoigné.
La Suisse veut faire revenir ses énergéticiens
Les énergéticiens suisses misent sur le photovoltaïque en Europe. Un parc solaire installé à Toulouse par une société suisse qui l'exploite produit du courant pour 4000 ménages. Les Suisses ne veulent plus de ces grandes structures dans leur pays. Pour faire revenir les énergéticiens, le gouvernement pourrait imaginer de nouvelles subventions.
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