L’armée française a mené ses premières frappes en Syrie. Elles ont été annoncées par un communiqué de l’Élysée, ce dimanche 27 septembre au matin. Toutefois, la position de la France vis-à-vis de Bachar al-Assad n'a pas changé : "François Hollande l'a réaffirmé avec force ce matin : pas question de parler avec Bachar al-Assad. Le président syrien n'est pas l'avenir du pays a-t-il dit", rapporte l'envoyée spéciale de France 3, Béatrice Gelot.Venir à bout de l'EIEn revanche, les discussions sont envisageables avec son entourage. "Seule inflexion de la France, le départ de Bachar al-Assad n'est plus un préalable aux négociations", souligne la journaliste. Aujourd'hui, la priorité est de venir à bout du groupe Etat islamique. Demain, Vladimir Poutine va présenter à la tribune de l'ONU sa solution : une coalition avec le président syrien et son armée.