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Guerre entre Israël et le Hamas : pour Anne Genetet, "les heures sont longues" quant à l’avenir des otages et des Français portés disparus

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Guerre entre Israël et le Hamas : pour Anne Genetet, "les heures sont longues" quant à l’avenir des otages et des Français portés disparus
Guerre entre Israël et le Hamas : pour Anne Genetet, "les heures sont longues" quant à l’avenir des otages et des Français portés disparus Guerre entre Israël et le Hamas : pour Anne Genetet, "les heures sont longues" quant à l’avenir des otages et des Français portés disparus (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Largenton
France Télévisions
Samedi 28 octobre, Anne Genetet et le colonel Jean-Luc Lefebvre étaient invités sur le plateau du 19/20 info. Alors que la députée Renaissance des Français établis à l’étranger a fait part de son inquiétude concernant les otages en vue des prochaines frappes israéliennes, l’ancien militaire redoute les conséquences pour les civils palestiniens.

Pour relâcher les otages, le Hamas exige que les tous les prisonniers palestiniens soient libérés. Invitée sur le plateau du 19/20 info, Anne Genetet, députée Renaissance des Français établis à l’étranger indique n’avoir aucune nouvelle des otages français. "La ministre des Affaires étrangères a souligné que nous avions 35 ressortissants décédés dans l’attaque terroriste et au moins 7 autres encore portés disparus. Les heures sont longues à attendre pour savoir ce qu’ils sont devenus", explique-t-elle. Selon elle, les frappes israéliennes survenues la nuit dernière et celle qui devraient suivre sont un motif d’inquiétude "pour toutes les familles".

Inquiétude pour les civils palestiniens

Également invité par vidéoconférence, le colonel Jean-Luc Lefebvre a commenté la stratégie militaire de l’armée israélienne. "Les Israéliens ont annoncé qu’ils voulaient détruire le Hamas. Ce qui signifie tuer tous les combattants ou les faire prisonniers. Mais ils sont retranchés dans les ruines et cela va faire des milliers de morts parmi les combattants, mais ce n’est rien à côté de ce que vont subir les populations civiles qui se trouvent dans une zone assiégée", a-t-il souligné. S’il condamne très fermement les attentats du 7 octobre, Jean-Luc Lefebvre estime qu’il faut garder les justes proportions. 

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