Sciences Po Paris bloqué : "On appelle à amplifier la mobilisation et à reproduire ça partout en France", indique la porte-parole de l'Union étudiante

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À Science Po Paris, la situation est toujours extrêmement tendue vendredi 26 avril, alors que de nombreux élèves pro palestiniens manifestent. Pour en parler, Éléonore Schmitt porte-parole de l'Union Étudiante et étudiante à Science Po Strasbourg.
Manifestation à Science Po : "On appel à amplifier la mobilisation, et à reproduire ça partout en France", explique Éléonore Schmitt À Science Po Paris, la situation est toujours extrêmement tendue vendredi 26 avril, alors que de nombreux élèves pro palestiniens manifestent. Pour en parler, Éléonore Schmitt porte-parole de l'Union Étudiante et étudiante à Science Po Strasbourg. (franceinfo)
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Vendredi 26 avril au soir, la situation est toujours tendue rue Saint-Guillaume, devant Sciences Po Paris, alors que de nombreux élèves pro-palestiniens se mobilisent. Éléonore Schmitt, porte-parole de l'Union étudiante, explique s'associer au mouvement dans le 19/20 info.

Le blocage mis en place devant Sciences Po Paris par des étudiants pro-palestiniens se poursuit, vendredi 26 avril. Éléonore Schmitt, porte-parole de l'Union étudiante, et étudiante à Sciences Po Strasbourg (Bas-Rhin), affirme s'associer au mouvement. "Notre antenne locale participe activement. Et puis, on appelle à amplifier la mobilisation et à reproduire ça partout en France. (...) C'est une cause qui est juste", assure-t-elle dans le 19/20 info.

"Une lutte profondément pacifiste"

Éléonore Schmitt tient à souligner qu'il s'agit d'"une lutte profondément pacifiste". En termes de revendications, le mouvement de manifestation demande à l'école "la fin des partenariats avec les universités israéliennes et avec les entreprises israéliennes qui soutiennent actuellement le génocide en cours", "la levée des poursuites disciplinaires envers les étudiants qui se mobilisent à Sciences Po" et également "un débat éclairé qui puisse se passer à Sciences Po avec la direction", détaille Éléonore Schmitt. 

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