Viaduc de Gênes : les recherches se poursuivent
Plus de 1 000 personnes sont mobilisées sur les lieux du drame pour tenter de trouver des survivants à la suite de l'effondrement d'un viaduc à Gênes (Italie). Parmi les secouristes se trouvent des Français.
Les secours ne se sont pas arrêtés une seule minute depuis que le pont Morandi à Gênes (Italie) s'est effondré, mardi 14 août en début d'après-midi. Les recherches des survivants se poursuivent au lendemain du drame. Ils s'engouffrent encore et encore dans les amas de béton. "Le travail est maintenant devenu plus compliqué. On a inspecté les zones auxquelles on pouvait avoir accès sans équipement lourd et on a commencé à bouger de gros éléments pour créer de nouveaux espaces de recherches", explique Luca Cari, le porte-parole des pompiers italiens.
Une dizaine de personnes sauvées
Le travail fastidieux a duré toute la nuit du mardi 14 au mercredi 15 août. Vue de haut, la complexité de la tâche n'est pas difficile à imaginer. Les secouristes avancent mètre par mètre et déplacent des tonnes de gravats à la main et à l'aide de tractopelles. Les carcasses des voitures et des camions sont peu à peu évacuées. Les équipes s'aident de chiens renifleurs pour tenter de repérer les survivants. Des Français sont venus en renfort de Nice. Ils s'avouent impressionnés par l'ampleur du désastre. Une dizaine de personnes a pu être sauvée grâce à ce travail.
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