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LA PHOTO. Les murs de Téhéran aux couleurs des législatives

Les électeurs iraniens sont convoqués le 26 février 2016 pour renouveler le Parlement et l'Assemblée des experts, institution religieuse qui élit le guide suprême de la République islamique d'Iran. Réformateurs et modérés veulent profiter de ce scrutin pour conforter leur assise politique depuis la présidentielle de 2013 qui a vu la victoire du modéré Hassan Rohani.
Article rédigé par Falila Gbadamassi
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié
Un homme mange un beignet alors qu'il passe devant un mur peint où sont collées les affiches du candidat réformateur Kazem Jalali dans le centre-ville de Téhéran le 22 février 2016. Les leaders réformistes et modérés comptent sur leurs partisans, notamment pour faire basculer l'Assemblée des experts, qui est aujourd'hui dominée par les conservateurs. «Les ex-présidents iraniens Mohammad  Khatami (réformateur) et Akbar Hashemi Rafsandjani (modéré) ont appelé (dans des messages séparés) les électeurs à voter massivement vendredi (26 février) pour les candidats réformateurs et ainsi "barrer la route aux extrémistes"», rapporte l'AFP. Ces anciens dirigeants «sont candidats à l'Assemblée des experts dont ils souhaitent voir écartées les figures les plus conservatrices, dont son président, l'ayatollah Mohammad Yazdi». (BEHROUZ MEHRI / AFP)

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