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Gênes : après la fuite de 500 tonnes de pétrole, le risque d'une pollution de grande ampleur est-il écarté ?
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Julien Cholin, envoyé spécial de France 2 à Gênes, revient sur les faits.
En une semaine, 500 tonnes d'hydrocarbures se sont échappées d'un oléoduc qui s'était brisé dans une zone industrielle. "Sur ces 500 tonnes, 50 ont rejoint la mer et ont formé cette nappe", explique Julien Cholin, envoyé spécial à Gênes. Cette nappe faisait 2 km de long le 23 avril et elle s'est divisée depuis en plusieurs nappes sur lesquelles travaillent une dizaine de navires de la marine italienne.
Une nappe qui se dirigeait vers la France
"Les autorités italiennes assurent que la situation est sous contrôle", précise Julien Cholin. Cette nappe se dirigeait vers la France, mais à en croire les experts italiens elle pourrait s'être totalement dispersée dans la mer d'ici ce dimanche soir. "Quant aux dégâts, ils restent relativement minimes, quelques traces d'hydrocarbures ont tout de même été retrouvées sur certaines plages de la côte italienne", conclut le journaliste.
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