Cet article date de plus d'un an.

Crise migratoire : "C’est un accord européen qui va permettre de sécuriser les frontières de l’Europe", assure la secrétaire d’État chargée de l’Europe

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 10min
Crise migratoire : "C’est un accord européen qui va permettre de sécuriser les frontières de l’Europe", assure la secrétaire d’Etat chargée de l’Europe
Crise migratoire : "C’est un accord européen qui va permettre de sécuriser les frontières de l’Europe", assure la secrétaire d’Etat chargée de l’Europe Crise migratoire : "C’est un accord européen qui va permettre de sécuriser les frontières de l’Europe", assure la secrétaire d’Etat chargée de l’Europe (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - J. Chironi
France Télévisions
Mercredi 4 octobre, l’Union européenne a trouvé un accord sur une politique migratoire. Sur le plateau du 19/20 info, la secrétaire d’État chargée de l’Europe, Laurence Boone, réagit à ces annonces.

Mercredi 4 octobre, les 27 ont trouvé un accord sur une politique migratoire européenne. Sur le plateau du 19/20 info, Laurence Boone, la secrétaire d’État chargée de l’Europe, indique : "Objectivement, c’est un bon accord. C’est un accord européen qui va permettre de sécuriser les frontières de l’Europe. On peut aussi discuter avec les pays des départs." La ministre précise que "l’objectif est de maîtriser les flux migratoires, donc de pouvoir enregistrer les personnes qui arrivent, de pouvoir traiter leurs cas très rapidement".

Des mécanismes de relocalisation

Laurence Boone explicite cette dernière mesure : "Pour ceux qui n’ont pas le droit à l’asile, en cinq jours, ils pourront retourner dans leur pays". La procédure va également être accélérée pour tout le monde. "On va pouvoir traiter [les dossiers] en Européens et ensuite les allouer dans différents pays de l’Union européenne en solidarité." Le texte prévoit également des mécanismes de relocalisation. "Vous avez deux options : soit vous acceptez un certain nombre de migrants, soit vous contribuez financièrement aux Etats qui acceptent les migrants", précise la minsitre. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.